Description
Écran solaire minéral doux, pour une protection UVA/UVB des personnes à peau sensible
Cette crème solaire est formulée avec un filtre minéral, plus respectueux de la peau et de l’océan, pour une protection contre les rayons UVA et UVB.
Les ingrédients de haute qualité nourrissent et protègent la peau contre l’oxydation : eau de rose, huile végétale de pépins de framboise, huile de jojoba, vitamine E naturelle.
Sans effet blanchissant : cette crème très douce et légère est issue d’une nouvelle technologie évitant le blanchiment de la peau par le zinc. Elle pénètre bien la peau.
Saine pour la peau et pour les océans : sans filtre chimique, sans nanoparticules, sans dioxyde de titane.
Oemine Crème Solaire biologique Haute Protection (large spectre 372*)
Crème solaire SPF 30 (39,8 dans les tests**) avec un indice anti-UVA de 16 (UVA-PF***). Elle a donc un fort pouvoir absorbant protecteur contre les UVA et B.
*Les crèmes solaires sont testées selon un standard pour la protection large spectre UVA+UVB. Ce test consiste à mesurer le spectre d’absorption des rayonnements compris entre 290 nm et 400 nm (les longueurs d’ondes des UVA+UVB). Pour que l’écran solaire soit efficace selon ce critère, il doit être supérieur à 370.
**Les tests on révélé que l’indice de la crème solaire Oemine allait en fait de 37 à 44 (bien au-dessus du 30 marqué sur le tube) avec un UVA-PF de 16.
***L’UVA-PF est l’indice de protection contre les UVA.
Comprendre les indices de protection d’une crème solaire
Autrefois on parlait d’écran total : aujourd’hui on pense qu’un écran 50 est un écran totalement protecteur, ce qui est faux, car aucun écran ne protège totalement contre tous les UV. Le contrôle des anciens écrans ne portait d’ailleurs pas sur leur effet anti-UVA, alors que les rayons UVA sont pourtant les plus nocifs. Il faut donc veiller à ce que l’écran solaire ait au moins une protection de SPF 30, mais surtout une protection contre les UVA du 1/3 : soit un UVA-PF de 14 au moins
Pour indiquer le degré de protection on emploie l’indice SPF (Sun Protection Factor) ou FPS (Facteur de Protection Solaire). Cet indice quantifie le barrage aux UVB. Il va de 9 (SPF 9) pour le minimum, jusqu’à 50 (SPF 50) pour le maximum.
On classe les écrans solaires en 4 niveaux de SPF :
· De 6 à 15 pour une protection faible ;
· De 15 à 25 pour une protection moyenne ;
· De 30 à 50 pour une haute protection ;
· De 50+ pour une très haute protection.
Ces indices donnent simplement une indication du temps de protection. Pour comprendre : on multiplie l’indice par 10 et on obtient la durée d’exposition en minutes au-delà de laquelle on risque un coup de soleil (pour des conditions moyennes d’ensoleillement).
Ainsi un indice 15 protège pendant 150 minutes, l’indice 30 protège pendant 5 heures et le 50 pendant environ 8 heures (500 minutes).
Mais l’indice SPF renseigne aussi sur la quantité d’UVB arrêté : ainsi un SPF 15 bloque environ 95% des rayons UV, un SPF 30 fait écran à 96,7% des UVB, le SPF 50 arrête environ 98,3% des UVB. On constate qu’il n’y a pas une énorme différence entre un 30 et un 50.
Cependant, si tous les écrans sont donc bien testés pour éviter le coup de soleil, ils ne sont pas forcément efficaces pour stopper les UVA qui sont les plus dangereux.
Doit donc figurer sur le tube, en plus de l’indice SPF, le logo d’écran contre les UVA : l’UVA-PF. Pour qu’une crème solaire soit efficace, cet indice doit être au moins du tiers du SPF revendiqué.
Par exemple, un écran forte protection d’indice SPF 30 doit avoir un index UVA-PF d’au moins 10.
En général les marques ne communiquent pas l’indice en question et font croire que leur UVA-PF est identique au SFP.
En définitive, quel que soit l’indice de la crème, dans tous les cas il est recommandé de remettre de l’écran protecteur SPF 30 toutes les 2 heures. D’où l’intérêt de choisir un produit naturel et si possible biologique.
